le blog du parc

Les précipitations sont rares dans l’Arctique, moins de 250 mm par an, de sorte que le système hydrographique y est peu développé. La présence d’un permafrost (sol gelé en permanence, dont la surface dégèle en été) interdit l’écoulement de l’eau qui provient de la fonte des neiges, ce qui entraîne la formation en surface de lacs peu profonds, d’étangs et de marais. On trouve également des rivières provenant de régions plus humides, qui s’écoulent vers la mer en traversant des terres arctiques humides.

IV.                  La faune polaire

a.     Espèces rencontrées dans la région arctique

Durant le bref été arctique, des douzaines d'espèces d'oiseaux migrateurs fréquentent les eaux libres qui apparaissent ça et là dans l'écozone. À mesure que se fragmente la banquise, la lisière des glaces devient un habitat vital pour les mammifères et les oiseaux marins. C'est là que se nourrissent, se reposent et muent de petites colonies de cygnes siffleurs,  d'oies, de canards, de mouettes, de sternes(mouettes arctiques) et de diverses autres espèces d'oiseaux de rivage. 

L'ours blanc et le phoque annelé errent dans toute la région arctique. En hiver, la polynie des eaux du nord, une étendue d'eau non gelée, sert de refuge aux mammifères marins. Victime de la chasse au XIXe siècle et au début du XXe siècle, la baleine boréale a presque disparu. Même si ses effectifs se sont reconstitués dans le secteur ouest de l'écozone, le stock du secteur demeure très affaibli et l'espèce serait menacée d'extinction.

Dans toute l'écozone de grands bancs de petite morue polaire nourrissent des populations de  phoques, de bélugas(baleine blanche) et de narvals(espèce de cétacé). Des troupeaux importants, quoique menacés, de bélugas passent l'été le long de la côte ouest de la baie d'Hudson. La plus grosse population d'ours polaire au Canada aménage ses tanières sur la côte de la baie d'Hudson près de Churchill au Manitoba. Les marais salés littoraux de la baie accueillent aussi quelques-unes unes des plus importantes concentrations d'oiseaux aquatiques nicheurs et migrateurs du monde.

b.     L’ours blanc, un danger pour les aventuriers

Son nom, Ursus maritimus, est à peine usurpé : sans être un véritable mammifère marin, l'ours polaire dépend avant tout de la mer pour survivre. Plus exactement des glaces de mer, où il chasse le phoque, sa principale source de nourriture. Un territoire en sursis qui commence à se réduire inexorablement sous l'effet du réchauffement planétaire. Des autres ursidés, il se distingue par son grand cou, ses longues jambes, sa tête allongée et étroite. Et, bien sûr, par son pelage uniformément blanc, sans lequel il n'aurait pas survécu. Fait de longs poils transparents,  celui-ci protège l'animal du froid tout en laissant pénétrer la lumière : une fourrure idéale pour le climat polaire, dont les enfants adorent caresser la blancheur en peluche.

L'animal en chair et en os, à dire vrai, inciterait plutôt à se munir d'une arme de gros calibre. Sa taille (1,60 m au garrot) et son poids (400 kg en moyenne pour un mâle) imposent la prudence. Et plus encore ses griffes, promptes à se retourner contre l'homme, son seul prédateur. Habitant des régions polaires de l'hémisphère Nord, il règne sur un royaume immense : 12 millions de kilomètres carrés de terres et de glaces. Au total, ses effectifs sont estimés entre 20 000 et 30 000 individus, dont plus de 15 000 au Canada. Mais sa présence peut être signalée plus au sud, ainsi que très au nord, jusqu'à 88° de latitude.

A cause du réchauffement planétaire, la banquise se réduit en taille par conséquent, l’ours blanc traverse de plus en plus toute la banquise pour trouver de la nourriture. Ainsi pour tous les aventuriers qui veulent atteindre le pôle Nord, il y a une probabilité assez forte de se retrouver nez à nez avec un ours blanc. Il n’est pas forcement agressif mais il est  très curieux. Il peut flairer un être vivant à 10 kilomètres à la ronde. Ainsi si un humain se trouve sur le chemin de l’ours, il se peut que l’ours prenne l’humain pour un phoque. Peu d’accidents sont arrivés et dans la plus part des cas de rencontre avec un ours, la meilleure façon d’y échapper ; est de faire le mort.

Pour Dominick, l’ours est un réel danger. Pour son expédition au Pôle Nord magnétique, elle avait emmené avec elle, un chien pour pouvoir au cas où, faire peur à l’ours. Pour cette expédition au Pôle Nord géographique, Dominick prendra une arme à feu, pas forcement pour tuer l’ours mais surtout pour lui faire peur. Même si l’ours ne s’attaque pas à elle directement,  il serait très grave que l’ours polaire veuille jouer avec la tente ou avec le matériel de Dominick. Ceci pourrait mettre un terme à l’expédition.

Jules Vallès naît le 11 juin 1832 au Puy (Haute-Loire) comme troisième enfant de Louis Vallez et apparaît comme Louis Jules Vallez à l'État Civil.

En 1839 il entre au Collège royal du Puy.

En 1840, Jules entre au Collège royal de Saint-Étienne où il restera de la 7e à la 3e et où son père est maître élémentaire, en classe de 7e. Jules entre en 3e en 1845 au Collège royal de Nantes où son père est nommé professeur.

1847-1848 : Jules Vallès en classe de rhétorique au Collège royal, puis au lycée de Nantes.

Septembre 1848 : Premier voyage de Jules Vallès à Paris ; lycée Bonaparte (actuel lycée Condorcet), Pension Lemeignan. 2e classe de rhétorique.

Nous sommes une école de 8 classes et une clis.

La chef d'orchestre de tout ce petit monde se prénomme Marie Lise.

Ses petits musiciens apprennent avec elle et Elsa en CP.

Angélique évolue en cp.

Monique évolue en ce1.

Sophie B évolue en ce1 ce2.

Nicole évolue en ce2.

Michel évolue en cm1.

Pascale évolue en cm1 cm2.

Sophie G évolue en cm2.

Emilie évolue en clis.

Sandrine, notre aide éducatrice jusqu'en février.